beaurepaire - agence conseil en communication

Instants volés de la vie d’une star : Barbara Rossi, jolie blonde fashion et affairée, sexy et décontractée, traverse la capitale et les pages de Glamour, Elle et consorts… 9h, 14 h, 17h, on suit, en 3 looks et 3 moments, la belle qui pérégrine… Qui est-elle ?
L’égérie de Freddy – marque italienne de vêtements de danse et de fitness – qui débarque en France et pour laquelle nous avons imaginé ces annonces presse « sur-mesure ». Destiné aux grands féminins français, ce roman photo au charme très « spontané » emprunte les codes des magazines people pour mettre en valeur le côté sport, mais très glamour, de la marque.

Coupole renversante, cabines d’essayage telles des «cages» à oiseaux dorées, plafonds en conques de porcelaine… le nouvel «écrin du luxe » à Paris se déploie sur plus de 2000 m ²  au premier étage du célèbre grand magasin parisien. Imaginé par Bruno Moinard dans le cadre de la restauration du magasin-phare de la marque, boulevard Haussmann, l’espace a été dévoilé aux journalistes le mois dernier, grâce à un dossier de presse conçu par beaurepaire.

Plus chic que chic, bien sûr, le document est à l’image de cet espace Luxe, travail d’orfèvre intemporel et créatif, mêlant photos, typos et exquises esquisses. Au travers de 3 brochures (3 univers, 3 tons, 3 matières « papier »…) mais toutes entièrement en noir et blanc, on explore aussi bien le projet architectural (sous le titre « Échappée belle ») que les marques présentes et les avantages exclusifs du lieu.

Plus angélique que son ainée la bikeuse, la nouvelle égérie de Zadig et Voltaire oscille, telle une odalisque, entre “décadanse” et élégance naturelle, promenant déjà son déhanché aussi nonchalant qu’obsédant sur les tabloïds, les magazines, les murs de Paris et d’ailleurs… Objectif, selon Emmanuel Brunet, directeur de création de l’agence, auteur de cette campagne : “nous entraîner dans son sillage, à la conquête d’une certaine idée de la liberté, illustrer un instant de bonheur, le plaisir désinhibé d’être soi, comme celui de porter ses vêtements comme une seconde peau, douce et chic à la fois”. Chic et douceur encore, pour la nouvelle collection automne-hiver que, dans les vitrines des boutiques, des cubes lumineux pastels conçus aux visuels très rock annoncent à toutes les fashionistas. Seules les plus globes-trotteuses pourront constater de visu que la marque poursuit sa conquête bien au-delà de nos frontières. Z&V vient en effet d’ouvrir ses premières boutiques en Chine et l’annonce dans tout l’Empire du Milieu par des affiches made in… beaurepaire.

Entre riffs métalliques, rock nerveux et électro planante, les 4 britishs chevelus et bouillonnants de Late of the Pier produisent un son qui fait déjà sautiller toute la scène rock européenne.Bien qu’inclassables, les sales gosses s’inspirent autant de Frank Zappa et de Brian Eno que des plus récents (et tout aussi bruyants) Klaxons… Bref, c’est un peu LA révélation rock de l’année. beaurepaire leur a designé un flyer pop et acidulé pour la FNAC et une annonce presse (parue dans les Inrocks, Tsungi…)

Le catalogue Rodolphe Menudier automne – hiver 2008/2009 a tout de l’écrin pour des chaussures et des accessoires qui ressemblent à des bijoux.

Made in beaurepaire.

Jeanne Lanvin, femme d’exception (et de caractère), fonda puis dirigea la célèbre Maison au siècle dernier, installant la griffe au firmament de la création Haute Couture et imposant son style, si parisien, si féminin, de par le monde. Pour lui rendre hommage, Lanvin a créé un parfum portant son nom… et s’inspirant de son aura intemporelle. Fruitée et musquée, délicate et sensuelle, la fragrance sera disponible en septembre 2008. C’est pour accompagner son lancement au Plazza Athénée, lors d’un déjeuner d’été rassemblant la “crème” des journalistes cosmétiques, que l’agence a imaginé des outils légers, vaporeux et sophistiqués. Ainsi, le save the date, l’invitation et le menu de l’évènement déclinent le rose dragée – presque “poudré”, du parfum et de sa très originale étiquette en tissu. Détail couture : chaque document se nimbe d’un nœud de tulle rose (posé à la main). So chic.

Son catalogue trône sur des millions de tables basses et paniers à journaux en France, objet familier et quotidien que toute la famille feuillette, lit ou relit. Célébrissime et incontournable, La Redoute, première marque de VPC en France, fête ses 80 ans. Pour célébrer cet anniversaire, en étroite collaboration avec les équipes communication de la Redoute, nous avons imaginé une brochure événement – véritable dossier de presse corporate, distribué au Georges, (restaurant du 6^e étage du Centre Pompidou) aux journalistes de mode les plus pointus. Pensé comme un très joli magazine, graphique, ludique et aéré, l’objet retrace en 3 temps (hier, aujourd’hui et demain) la passionnante saga de cette marque avant-gardiste (une des premières à avoir utilisé la VPC, mais aussi fait appel à des créateurs et à des people pour le design de ses collections…).
On y retrouve bien sûr ce qui fait l’essence et le supplément d’âme de la marque depuis sa création : sa volonté d’être proche des femmes et de leurs envies, d’inspirer leurs petites folies et de leur fournir un répertoire inégalé de basiques, tant en matière de mode que de déco. Adepte du “je” comme du “jeu”, la marque cultive ainsi depuis toujours une image de la femme libre et indépendante, sachant se “démarquer”, suivant la mode sans se prendre la tête. Un souffle qui traverse la brochure, comme un condensé d’air du temps, une “idée” de la mode, ludique et colorée. Truffée de clins d’œil et d’infos, elle invite à être parcourue et “picorée”. Légèreté, gaieté, inventivité : un objet en phase avec la nouvelle signature de la Redoute, “vous n’avez pas fini de jouer avec la mode”…

Samedi 31 mai, les lecteurs avides de Libération ont pu découvrir, en 4e de couverture de leur quotidien, la photo pleine page d’une jeune femme, seins nus, juchée sur des épaules au cœur d’un mouvement de foule (festival rock, manifestation ?). Emprunt à Mai 68 ? Sûrement. Authentique ? Peu importe. Dénuement, noir et blanc, simplicité désarmante et émouvante, la photo dit bien plus que la nudité revendiquée. Libre et spontanée, elle porte aux nues, bien plus qu’elle n’expose, une expérience de liberté (chérie) que l’on ne cessa de défendre depuis…
Imaginé par l’agence et son directeur de création, Emmanuel Brunet, pour Princesse Tam Tam, la célèbre marque de lingerie, le visuel, véritable pied de nez aux codes de la publicité, montre une femme ne portant, justement, pas de soutif, à une époque ou l’on préféra les bruler en guise de protestation. C’est tout le propos de la marque : oublier le produit pour mieux exalter un acte militant et au-delà, un état d’esprit fondateur de la lutte pour les droits des femmes. Un retour aux sources nécessaire et plus que jamais d’actualité, puisque, (hasard objectif ?) le quotidien titrait ce même jour en couverture “Ni vierge, ni soumise*”, en référence à l’affaire du mariage annulé de Lille. Etonnant vis-à-vis, troublant diptyque retraçant, à travers 2 slogans et 2 images, 40 ans de l’histoire des femmes.

* en référence à la pétition lancée par l’association Ni putes, ni soumises.

ELLE, l’incontournable féminin de l’éternel féminin, a choisi beaurepaire pour imaginer une annonce presse parue dans Stratégies la semaine du 8 mars 2008. Objectif : un gate folder aussi beau qu’informatif pour rappeler aux décisionnaires de l’achat d’espace que s’il y a bien “une journée de la femme dans l’année”, il y en a surtout … “365 fois plus dans ELLE”.
Magazine des femmes dont il est la voix autant que le reflet, ELLE incarne la modernité et donne du sens. Ce magazine engagé, emblématique de l’air et des femmes de son temps, incarne en effet à “ELLE” toute seule les combats et les aspirations des femmes pour leur libération sociale, sexuelle et culturelle…
Or, qui mieux qu’ELLE parle d’ELLE ? Notre choix, très logique, a été de “donner la parole” au magazine en juxtaposant quelques unes de ses couvertures les plus marquantes pour redessiner l’échelle du temps des origines à aujourd’hui. Une mosaïque de styles, d’enquêtes et de tendances sur papier glacé, un patchwork d’atmosphères et d’icônes comme autant de fenêtres ouvertes sur le monde et l’histoire, comme autant de révolutions en marche (féminines, mais pas seulement), la trace concrète de l’impact du titre sur les générations de femmes qui s’y sont reconnues, semaine après semaine, depuis plus de 60 ans.

Mais voilà : en 2008, l’agence conseil en communication est toujours et encore en expansion. beaurepaire est en effet déjà très actif sur les secteurs : territoires (Conseil général de Seine-et-Marne) + santé (web 2.0 creer-hopitaux.fr) + art de vivre (Paul Bocuse, Bragard) + culture et mécénat (brochure “Pourquoi la Fondation de France ?” primée d’un Top Com de Bronze, etc.)

Aujourd’hui, beaurepaire, dirigée par Xavier de Fouchécour depuis sa création en 1987, inaugure un nouveau pôle : mode & style.

Ce pôle est piloté par Emmanuel Brunet, directeur de création de l’agence depuis un an. Son expérience de touche-à-tout dans le domaine de la mode est assurément riche. De 1996 à 2006, il a ainsi été directeur de création, et fondateur, de Shaman l’atelier graphique. Il y a par exemple assuré la communication de Paule Ka, Bali Barret, Karine Dupont, travaillé sur l’identité visuelle de Repetto, ou encore réalisé des kits de presse pour Adidas. Il est également, depuis 2003, le créateur et directeur artistique du trimestriel 99 % mode Technikart Mademoiselle.

Le pôle mode & style assure déjà la quasi-totalité de la communication Zadig & Voltaire (annonce presse, look book, communiqué de presse, mailing, billboard TV, animation vitrines). S’occupe de l’image de Rodolphe Menudier, édite les look book d’Issey Miyake et gère la communication de Wacoal. Il a récemment créé le quotidien éphémère Vive la Mode (4 numéros) pour Prêt à Porter Paris® (janvier 2008).

Sa démarche ?
Le pôle mode & style aime se mettre à l’écoute d’une marque pour l’accompagner vers une meilleure connaissance d’elle-même. L’orienter ensuite dans la mise au point d’une bonne attitude parmi les 1001 tendances contemporaines. Et lui proposer enfin une tactique de communication ajustée – slogan et baseline, photo ou illustration, réel ou virtuel, livre ou magazine, clip et site internet.

Son inspiration ?
Aussi bien la vibration du web 2.0, les images des musées nationaux, la volupté des show rooms ou la trouvaille design d’un produit de grande distribution.

Ses suggestions ?
La transgression n’est plus très funny, ni la dépression sexy. Et le style commence là où s’arrête la frime.

Bref, beaurepaire pense qu’un égotrip élégant garantit un message performant.