beaurepaire - agence conseil en communication

Marne et Chantereine ? Evocation bucolique de sous-bois moussus et de fleurs des champs. Joli nom, donc. Sauf que l’intercommunalité seine-et-marnaise souhaite promouvoir un autre type d’attractivité, plus axé sur les responsables des entreprises que sur les poètes en mal de verdure (même si les deux cibles sont conciliables après tout…).

C’est que Marne et Chantereine monte en puissance : Chelles, son agglomération la plus étendue, est aujourd’hui la deuxième ville la plus peuplée du département de Seine-et-Marne, lequel occupe 50% de l’Ile-de-France.

Pour accompagner son développement, l’intercommunalité a fait appel à beaurepaire pour une mission de conseil – valeurs, positionnement, stratégie et plan de communication – destinée à promouvoir ses nouvelles ambitions, que concrétisent le passage du statut de Communauté de communes à celui de Communauté d’agglomération.

Au cœur de l’identité visuelle également conçue par l’agence, la volonté de transcender le nom du territoire en gommant son univers d’évocation champêtre, pour en faire une « marque » désirable, apte à refléter sa modernité. Comment ? Essentiellement, en magnifiant ses initiales, MC – l’appellation « Marne et Chantereine Communauté d’agglomération » s’affichant en mineur.

MC, formulation un peu énigmatique qui favorise la mémorisation, a déjà reçu un excellent accueil de la part des habitants et des équipes de Marne et Chantereine.

Dans la rue beaurepaire, qui jouxte notre agence et lui a donné son nom, les grands noms de la mode chassent férocement le dernier carré des marchands de cuir et de tapis. Notre pôle Mode et Style deviendrait-il magnétique ?

Entre beaurepaire et la Seine-et-Marne, la belle aventure continue :
le Conseil général vient de nous choisir une nouvelle fois pour prendre
en charge sa communication sur une période de trois ans.
Notre histoire commune a débuté en 2005 avec la conception par l’agence
de la nouvelle identité visuelle du département (la « griffe 77 » zébrant
toutes ses communications).
Elle s’est poursuivie en  2006 par un premier contrat de trois ans portant sur l’ensemble de la communication institutionnelle du département, couronnée par le Prix de la meilleure stratégie Marketing au Grand Prix CB News des collectivités territoriales.

A l’issue d’une compétition entre 4 agences, beaurepaire a remporté l’appel d’offres pour la nouvelle campagne « été 2010 Le Tanneur », qui sera lancée au début de l’an prochain. Au programme : l’inauguration d’un nouveau positionnement et du nouveau discours de marque pour le célèbre maroquinier, notamment à travers un nouveau slogan.

On ne connaît à ce jour aucun traitement préventif des démences. Or, des études récentes montrent que les facteurs vasculaires comme l’hypertension artérielle pourraient être impliqués. D’où l’importance cruciale de « l’Etude 3C », étude épidémiologique de très grande envergure menée par l’INSERM pour déterminer si la maîtrise de ces facteurs peut aider à prévenir cette cause majeure de handicap qu’est la maladie d’Alzheimer.

Pour rendre hommage aux quelque 10.000 personnes de + de 65 ans qui participent à cette étude depuis 10 ans, beaurepaire vient de concevoir le film « Etude 3C : la recherche pour mieux vieillir ».

Associant les témoignages de participants et de personnalités (Joël Ménard, responsable du Plan Alzheimer ; Françoise Forette, Présidente de la Société française de Gériatrie et Gérontologie ; Annick Alpérovitch, INSERM), ce film de 15 mn, tourné à Dijon et à Paris, est un vibrant témoignage de l’engagement de quelques individus pour faire progresser la science du mieux vieillir.

Pendant plusieurs mois, beaurepaire a accompagné la « Mission Cadres », mission ministérielle décidée par Roselyne Bachelot Narquin pour réfléchir à la formation, aux missions et aux statuts des 45 000 cadres hospitaliers en France. Encore une mission officielle ? Pas tout à fait si l’on se réfère à son déroulement et aux outils de communication mis en place. Parmi eux, un film, réalisé par beaurepaire et 2425 Productions dans l’esprit même du travail mené par la mission : en portant un regard le plus objectif possible sur le positionnement et les responsabilités des principaux intéressés. D’où le choix, non pas d’interroger les cadres eux-mêmes (cela aurait trop simple !), mais de faire témoigner celles et ceux qui les encadrent ou qu’ils encadrent. Vous suivez ? Alors c’est parti !