Mais voilà : en 2008, l’agence conseil en communication est toujours et encore en expansion. beaurepaire est en effet déjà très actif sur les secteurs : territoires (Conseil général de Seine-et-Marne) + santé (web 2.0 creer-hopitaux.fr) + art de vivre (Paul Bocuse, Bragard) + culture et mécénat (brochure “Pourquoi la Fondation de France ?” primée d’un Top Com de Bronze, etc.)
Aujourd’hui, beaurepaire, dirigée par Xavier de Fouchécour depuis sa création en 1987, inaugure un nouveau pôle : mode & style.
Ce pôle est piloté par Emmanuel Brunet, directeur de création de l’agence depuis un an. Son expérience de touche-à-tout dans le domaine de la mode est assurément riche. De 1996 à 2006, il a ainsi été directeur de création, et fondateur, de Shaman l’atelier graphique. Il y a par exemple assuré la communication de Paule Ka, Bali Barret, Karine Dupont, travaillé sur l’identité visuelle de Repetto, ou encore réalisé des kits de presse pour Adidas. Il est également, depuis 2003, le créateur et directeur artistique du trimestriel 99 % mode Technikart Mademoiselle.
Le pôle mode & style assure déjà la quasi-totalité de la communication Zadig & Voltaire (annonce presse, look book, communiqué de presse, mailing, billboard TV, animation vitrines). S’occupe de l’image de Rodolphe Menudier, édite les look book d’Issey Miyake et gère la communication de Wacoal. Il a récemment créé le quotidien éphémère Vive la Mode (4 numéros) pour Prêt à Porter Paris® (janvier 2008).
Sa démarche ?
Le pôle mode & style aime se mettre à l’écoute d’une marque pour l’accompagner vers une meilleure connaissance d’elle-même. L’orienter ensuite dans la mise au point d’une bonne attitude parmi les 1001 tendances contemporaines. Et lui proposer enfin une tactique de communication ajustée – slogan et baseline, photo ou illustration, réel ou virtuel, livre ou magazine, clip et site internet.
Son inspiration ?
Aussi bien la vibration du web 2.0, les images des musées nationaux, la volupté des show rooms ou la trouvaille design d’un produit de grande distribution.
Ses suggestions ?
La transgression n’est plus très funny, ni la dépression sexy. Et le style commence là où s’arrête la frime.
Bref, beaurepaire pense qu’un égotrip élégant garantit un message performant.